Brèves de Nature Sauvage

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Omniprésent dans Paris, le merle noir (Turdus merula)   au bec jaune, perché sur un arbre, un toit, une antenne ou une cheminée, fait résonner dans la capitale son chant mélodieux aux notes claires et flûtées dès l’aube et tard le soir.   280
Espèce quasi disparue entre 1945 et 1970, ce prédateur en milieu urbain est de retour à Paris depuis les années 2011. Extrêmement rapide, le faucon pèlerin (Falco peregrinus) fond sur ses proies à plus de 180 km/h depuis les plus hauts immeuble
L’étourneau sansonnet (Sturnus vulgaris) est un oiseau commun très sociable qui vit en groupe. À Paris, on le rencontre partout, des parcs aux jardins en passant par les rues jusqu’au bois. Opportuniste, bruyant, il installe son nid dans les ca
Bien présente dans les bois parisiens, la grive musicienne (Turdus philomelos) vit aussi dans les grands espaces verts arborés. Très discrète, cette cousine du merle, en quête de nourriture, visite en matinée et fin d’après-midi les pelouses de
Parfois très près de nous, caché dans un recoin d’une pièce peu fréquentée où il dort et engrange ses réserves de fruit secs pour l’hiver, ce petit rongeur commun brun à longue queue est surtout présent dans les bois, parcs et jardins parisiens
Sentinelle de la forêt, le geai des chênes (garrulus glandarius) est présent dans les deux bois parisiens ainsi que dans les parcs et jardins munis de bosquets d’arbres assez vastes. Friand de glands, il participe à la régénération des arbres d
La mulette des peintres (Unio pictorum) est une sorte de grande moule  très utile à Paris puisqu'elle filtre l'eau de la Seine. Autrefois, ce mollusque à la coquille épaisse servait  de godet à peinture pour les artistes du bord de l'eau ! 28
Ce rongeur commun se distingue du mulot et de la souris par sa couleur rousse et sa queue courte. Présent dans la litière des sous- bois parisiens,  le Campagnol roussâtre (Clethrionomys glareolus) constitue un maillon essentiel des chaines ali
Aux beaux jours, un vrombissement se fait entendre aux abords des plans etcours d’eau de la capitale. Un carnassier impitoyable pourchasse une proie dans un ballet aérien acrobatique . Oui, c'est bien une libellule qui nous débarrasse des mous
Vif et furtif, le Troglodyte mignon (Troglodytes troglodytes) est un petit oiseau rondelet. D'apparence discrète, il vit caché dans les buissons et fourrés de la capitale à l’abri des regards. Mais ne vous y fiez pas, il dispose d'une arme secr
D’allure très discrète, l’accenteur mouchet (Prunella modularis)  se tient souvent à ras du sol, caché dans les fourrés. Seule sa posture de chant, droit au sommet d'un arbre, permet de le repérer plus facilement. Cependant, il ne faut pas le c
L’Hirondelle de fenêtre (Delichon urbicum) et l’hirondelle rustique (Hirundo rustica)sont de grandes voyageuses. Ces deux espèces migratrices arrivent à Paris dès le printemps. Gracieuses, bavardes, elles animent le ciel parisien d’un incessan
Plutôt solitaire, le crapaud commun (Bufo bufo) mène une vie terrestre, crépusculaire et nocturne. Ce n’est qu’au printemps qu’il retrouvera les pièces d’eau parisiennes pour se reproduire, appelant la femelle d’un lent et plaintif coassement.
Toujours à couvert parmi les feuillages des bois parisiens, le pouillot véloce  (Phylloscopus collybita) conquiert les parcs et petits espaces boisés de la capitale depuis une dizaine d’année. Tendez l’oreille, son doux chant «tchiff-tchaff » r
Près des cours d’eaux parisiens, un oiseau trottine à petits pas, battant la mesure de sa longue queue, agitée en permanence de haut en bas. En quête d’insectes, on l'observe et la reconnait facilement, c'est la bergeronnette des ruisseaux (Mot
Rendez-vous le 23 mars 2022 pour la nouvelle saison de Brèves de nature sauvage. Pour la 3ème année consécutive, les naturalistes de la Ville de Paris explorent la biodiversité parisienne et vous racontent, tous les 15 jours, la vie d'un animal
Savez-vous qu’elle est la différence entre la mouette et le Goéland ? Ces deux espèces au plumage blanc et aux ailes gris cendré font partie de la même famille, celle des Laridés, des oiseaux côtiers qui vivent aussi à l’intérieur des terres, n
Rondelet, cette petite boule de plumes, dressée sur ses fines pattes, exhibe son plastron rouge orangé à tout intrus qui entre sur son territoire. Loin d'être commode, il n’est pas rare que le rouge gorge familier (Erithacus rubecula) agresse s
Avec son bandeau noir sur les yeux, tel zorro, la sittelle torchepot (Sitta europaea) est facilement identifiable. En quête d’insectes, de larves et d’araignées, elle passe ses journées sur le tronc des arbres parisiens, tête en haut pour monte
Souvent immobile sur les berges de Seine ou les étendues d’eau des bois et grands parc parisiens, cet échassier harponne toutes proies à portée de son long bec. Avec son envergure impressionnante, chaque envol du héron cendré (Ardea cinerea) es
Au fond de la Seine louvoie un énorme poisson. Le Silure est un vorace prédateur qui attrape poissons, crustacés, grenouille et même des rats !2800 espèces sauvages, animales et végétales se cachent dans Paris. Tous les 15 jours, le podcast B
Les vieux arbres parisiens sont les hôtes de ce petit oiseau qui y trouve un logement et de la nourriture. Toute la journée, il grimpe en spirale, le long des troncs dont il fouille l’écorce pour en extraire insectes et araignées. 2800 espèce
Le grillon des bois vit enfoui sous les feuilles dans les bois de Boulogne et de Vincennes. Par son régime alimentaire, il participe à la formation du sol forestier, la litière. 2800 espèces sauvages, animales et végétales se cachent dans Par
Une méduse dans la Seine ? Au gré des courants, une prédatrice inattendue vogue pour attraper ses minuscules proies. Elle a attendu que la température de la Seine dépasse 20 °C pour naître de son polype fixé au fond de l’eau et partir à la conq
Habitué des pelouses gérées en prairie, le criquet mélodieux stridule l’été à Paris de juin à septembre lors des journées ensoleillées. Une gestion respectueuse des cycles écologiques des espaces verts n’est pas étrangère à sa présence. 2800
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